Sylvie DEPRAETERE

Raconte-nous ton histoire avec le Cerdd...

ta rencontre avec le Cerdd ?

J’ai rencontré le Cerdd quand il était encore une intention, un besoin exprimé par les acteurs du développement durable. Et ensuite plus formellement à sa deuxième année de fonctionnement.

En 20 ans, le Cerdd a grandi, quel regard portes-tu sur son évolution ?

Je trouve que le Cerdd est désormais installé comme acteur du développement durable de référence, une ressource, tant pour les territoires que pour les services des institutions ou d’autres associations. Le « fil à plomb » visé lors de sa création.

Peux-tu citer un souvenir fort vécu avec le Cerdd, une anecdote ?

Plein. Avec les années, c’est sûr on a partagé des choses et des moments. J’en citerais une : l’organisation des Assises du développement durable, les toutes premières, en 2003. Un événement hyper ambitieux porté par une équipe jeune et toute petite. C’était du sport. Certains y ont laissé leur santé. Et malgré les tensions que cela générait, l’optimisme toujours.

Ta ressource préférée du Cerdd ?

J’aime bien le panorama des initiatives, une mine d’idées avec la manière de les reproduire !

Le Cerdd dans 20 ans, à quoi ça ressemblera selon toi ?

Pareil mais plus écouté. Peut être l’organisateur des COP ou des Sommets de la Terre ;-)

Tire le portrait chinois du Cerdd !

Si le Cerdd était...

• Une chanson… "Happy" de Pharell Williams.
• Un plat… Un saint Pierre en bouillon de galanga : technique maîtrisée et finesse du résultat.
• Un animal...Un chat parce que même devant la difficulté, il retombe sur ses pieds.
• Un personnage de fiction... Le prof de lettres dans “Le cercle des poètes disparu”, qui pousse à voir les choses sous un autre angle
.
• Un hashtag... #adaptation, à la fois par les sujets animés par le Cerdd et par son attention portée à l’évolution des choses, des contextes, de ce qui fonctionne en termes de réponse, à l’évaluation des effets de son action.