Mis à jour le 16 juin 2021

Découvrez le témoignage de Franck Chauvin, Responsable RSE à JUNIA.

Franck portrait
 

Raconte-nous ton histoire avec le Cerdd...

ta rencontre avec le Cerdd ?

Question difficile, c’est comme les vieux amis, on a l’impression de les connaître depuis toujours... Après consultation de mes dossiers informatiques, j’ai en archive une CerddAction, Feuille de liaison du Centre Ressource du Développement Durable de décembre 2003. Le CERDD était alors basé à Lille. Je connais le CERDD depuis donc au moins 2003, année de mon démarrage professionnel dans le Nord, et c’était via une de ses publications.

En 20 ans, le Cerdd a grandi, quel regard portes-tu sur son évolution ?

Le CERDD a grandi en maturité bien sûr sur cette période. L’intégration des questions de durabilité dans les processus économiques ou territoriaux n’en était pas au même stade d’avancement au début des années 2000, passant d’une certaine façon de conscience dans ces années-là, à la science désormais. Le CERDD a su accompagner cette évolution, et surtout amplifier les aspects transitionnels et les bonnes pratiques associées. J’ai toujours vu le CERDD comme un phare avancé sur ces questions de responsabilité sociétale au sens large. 20 ans après, ce phare demeure, avec des focales peut-être différentes, mais avec les mêmes finalités : éclairer les acteurs sur les chemins de la nécessaire transition.

Peux-tu citer un souvenir fort vécu avec le Cerdd, une anecdote ?

De chouettes DDTour, une réunion d’AmbassadeurDD sur une péniche, une remise de diplômes du Master Environnement de JUNIA-ISA parrainée par Emmanuelle LATOUCHE, ex directrice adjointe… bref j’ai plein de choses dans la boite à souvenirs avec le CERDD. Mais si je dois retenir un souvenir fort avec le CERDD : c’est celui de la COP21, à Paris en 2015. Une opération collective de représentation de la dynamique climat régionale avait été organisée, avec une présence au Grand Palais, au titre de l’exposition des solutions. Avec un petit passage du côté des négociations officielles au Bourget : l’impression alors d’être au cœur de l’événement majeur international de la décennie, dans nos domaines. 

Ta ressource préférée du Cerdd ?

Les publications de l'Observatoire Climat Hauts-de-France. Une mine de chiffres et de cartes, éclairants. Et longtemps avec un de nos diplômés aux manettes !

Le Cerdd dans 20 ans, à quoi ça ressemblera selon toi ?

Ce sera toujours un phare avancé sur les champs des questions de transition de l’époque d’alors, un marqueur fort de l’intelligence collective made in Hauts-de-France. Une boussole qui continuera d’indiquer le développement durable au Nord, et sur les autres points cardinaux.

Tire le portrait chinois du Cerdd !

Portrait chinois
© Bogdan Dreava - Nounproject

Si le Cerdd était...

  • Une chanson… "You’ll never walk alone", puisque le développement durable, c’est bien une affaire collective ! Liverpool, qui en a fait son hymne, et Loos-en-Gohelle peuvent en outre avoir des problématiques communes. Enfin c’est un standard repris par de nombreuses grandes voix (Nina Simone, Louis Armstrong, Aretha Franklin, Pink Floyd…).
  • Un plat… Une flamiche au Maroilles, parce que c’est local, pas trop carboné, et que ça se partage.
  • Un animal... Une pieuvre car les défis sont tentaculaires, et qu’il faut bien huit bras, trois cœurs, et neuf cerveaux pour s’employer à la résolution des problématiques de durabilité.
  • Un personnage de fiction... un Géant du Nord, parce que c’est un élément fédérateur du patrimoine local, et que ça se porte à plusieurs !
  • Un hashtag... #inspirant parce que c’est le hashtag que j’utilise en général pour commenter une publication du CERDD.

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